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Nouvelle période à aborder : le déconfinement.
Personnellement, j’ai une sensation d’incertitude et de flou. Ça reprend, mais nous ne sommes plus tout à fait les mêmes. 
Et personne ne sait vraiment comment cela va reprendre ?

Cette sensation d’incertitude est plutôt agréable pour moi.
À titre individuel, cette énergie me fait vraiment me sentir en lien avec la vie. Avec cette incertitude de la Vie. Je sens que je fais face à un nombre infini de possibilités. J’ai comme un goût de tout est possible que j’a envie de regarder avec des yeux d’émerveillement, de curiosité et de joie.

Comment abordes-tu cette période ?
Qu’est-ce que le confinement t’as appris sur toi (ou t’a confirmé) que tu décides d’intégrer même hors confinement ?

Ce qui s’est renforcé chez moi, c’est mon envie de suivre mon intuition, ma joie, ce qui me fait vibrer ; indépendamment de toute logique mentale.
L’intuition est le maître, l’intellect le serviteur. Je crois que c’est Einstein qui disait ça.
Comme les repères extérieurs sont incertains, comme j’ai envie d’assumer ma responsabilité, je choisis de définir mes propres repères, mes propres critères de “réussite”, de ce que c’est de “bien vivre.”
T’es-tu déjà posé la question ? C’est quoi pour toi “réussir” ? Qu’est-ce qui est important pour toi ?

As-tu envie de plus écouter ton intuition ?
Je te partage ce qui m’aide à le faire.
– développer ma confiance en la vie. Cette idée que la Vie est d’une infinie intelligence et que mon “petit” mental ne peut même pas imaginer toutes les possibilités, ressources, chemins que la vie peut m’offrir. 
– développer ma confiance en moi. En ma capacité à sentir et à ressentir. Ne pas mettre en doute ce que je ressens au plus profond de moi. Mais aussi en ma capacité à passer à l’action, à rebondir, à créer.
– créer mes conditions pour être dans l’ouverture et la réception pour accueillir les informations transmises par mon intuition. Pour moi ça passe par le corps, la respiration, le mouvement, la créativité, le silence, le rien…
– systématiquement revenir au présent.

Quand il n’y a plus rien, on peut se dire qu’il n’y a plus rien. Et on peut aussi se dire que tout est à créer à partir de cette nouvelle page blanche. 
C’est une question de perception.

Christine

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