– LES CASSEURS DE DÉLIRE –

On en a tous dans notre entourage. Ces personnes qui nous coupent l’herbe sous les pieds, qui cassent nos délires, qui essayent de tuer nos idées dans l’œuf !!

Qu’est-ce qu’ils m’énervent ceux-là !

Ces gens qui ne parviennent pas à simplement se réjouir pour toi quand un truc positif t’arrive, quand tu as une idée que tu trouves géniale. Ils ont toujours une objection, un truc à redire.
Eux te diront qu’ils sont là pour te prévenir, que ce qu’ils te disent c’est pour t’aider ! Mais c’est faux !!

J’ai identifié 2 catégories de « casseurs de délire » :

1 – Ceux qui ont peur !
Leur premier réflexe après avoir entendu ton idée : te jeter leurs peurs à la figure !! Oui c’est ça : leurs peurs, pas les tiennes ! Alors qu’ils se les gardent !!

Parce que de deux choses l’une : soit juste après ça, tu commences à douter et là ils ont vraiment réussi à te couper l’herbe sous les pieds. Du coup, tu n’es plus chaud pour ton idée, t’es devenu plutôt tiède !!

Soit comme moi maintenant, tu ne les écoutes pas. D’ailleurs, s’ils récidivent trop souvent, j’arrête de leur communiquer mes idées et mes délires.

 

La deuxième est à mon sens la pire !

2 – Ceux qui n’acceptent tout simplement pas que tu aies de bonnes idées.
Alors je sais pas si c’est de l’envie, de la jalousie… Je ne sais pas ce qui les motive, et en vrai je m’en fous !!
Il y a des personnes qui ne supportent pas que tu fasses un truc bien. C’est plus fort qu’eux, ça les pique !
Au lieu de voir le positif que tu as accompli, ils ne perçoivent que le négatif et ne manquent pas de te le faire remarquer. Tu n’entendras jamais un « c’est cool » venant de leur bouche. Soit ils se moquent, soit ils critiquent.
Pour moi, les gens de cette catégorie ont un problème de positionnement avec toi. Tu remarqueras que souvent ce sont des personnes qui se placent au-dessus de toi, qui préfèrent quand tu ne réussis pas trop bien, et donc qui veilleront à ce que ça reste comme ça.

Cette deuxième catégorie ne fait tout simplement pas partie de mon entourage. Je n’ai pas besoin de ce genre d’énergie autour de moi.

Les casseurs de délire n’ont pas compris ! Quand je partage mes idées, ce n’est pas pour obtenir une validation de leur part ou pour me justifier !! C’est juste pour PARTAGER ! Partager ma joie avec eux.

Eux ne parviennent pas à écouter simplement, et donc à se réjouir. Ils entendent et immédiatement reviennent à ce qu’ils en pensent. Donc te cassent ton délire !

Moi j’ai envie de leur dire à tous que :

1 – « D’adulte à adulte, chacun sa responsabilité. Moi celle des conséquences de mon idées, toi, celle de tes peurs. »

2 – « Franchement, mon idée j’la kifferai avec ou sans toi. Donc tes vibes négatives-là, garde les pour toi !
Encore une fois, je ne suis pas responsable de tes peurs. À toi de les gérer. »

3 – « Je suis prête à écouter tes peurs et tes craintes si tu assumes que ce sont les tiennes.
Je l’ai dit dans ma vidéo clé #4, utilise le JE. (https://www.youtube.com/watch?v=rbgq2A1lNtE)
N’essaye pas de faire comme si c’était mon idée qui n’était pas bonne. Ça, c’est ce que toi, tu penses, mais ça ne veut pas dire que je le pense. Et ça ne veut pas dire que tout le monde pensera comme toi. »

4 – « C’est mon idée, donc j’en prends la responsabilité. Je pèse le pour et le contre, j’assume les conséquences.
Je me fais totalement confiance sur ça, et tu peux me faire confiance aussi. Si je vois que finalement, selon mes critères, ce n’était pas une si bonne idée que ça, je suis parfaitement en mesure de rectifier le tir.
J’ai les clés, je choisis ma vie. »

5 – « Si tu n’acceptes pas que je sois heureuse, que des choses m’animent et motivent, alors ciao. Nos routes se séparent ici. No hard feelings. »

Si tu as des casseurs de délire dans ton entourage…
Garde en tête que ce qu’ils pensent leur appartient. Et qu’ils n’ont ni la science infuse, ni la vérité. Ils ont peut-être tort ou raison, en fait personne ne sait, pas même eux. Parce qu’on ne lit pas dans l’avenir.
Prends conscience que si ton idée, tu la trouves bonne, il ne tient qu’à toi de mettre les actions en place pour la réaliser. Ça dépend uniquement de toi et pas de l’avis des autres. Même s’ils sont positifs d’ailleurs !

Si tu es un ami, un vrai, que tu es dans la bienveillance, et que tu veux donner ton avis sur mon idée…
Je te demande de vérifier d’où ta réflexion part.

Si tu n’acceptes pas que j’ai une bonne idée, tu n’es PAS un ami bienveillant. Ciao. No hard feelings !

Est-ce que ce sont tes peurs qui parlent ? Si oui, identifies-les avant de me les balancer et je serai prête à t’écouter et les prendre en considération.

Et si tu vois que je peux faire mieux, peux-tu me le dire en gardant en tête ton intention positive : celle de m’aider à progresser et pas celle de me descendre ?

Je m’engage à faire pareil pour toi !

Christine R.
Mindset&Cie

 

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